Le collège Fénelon
L’établissement a été fondé en 1892 pour les jeunes filles de la bourgeoisie lyonnaise par les sœurs de Nazareth.
Dès sa fondation, c’est un jésuite renommé qui donnera à cette congrégation son esprit et ses constitutions. Dans les années 70 on verra la rapprochement avec la Trinité par le passage à la mixité et la participation à la même tutelle. En 2003, le diocèse de Lyon accepte la dévolution de tutelle du collège Fénelon à la Compagnie de Jésus.
Le lycée La Trinité
C’est probablement l’établissement le plus ancien de Lyon, fondé en 1519, il est confié en 1564 à la Compagnie de Jésus.
Le Collège de la Trinité connaît très rapidement un fort développement et un grand prestige sur le plan culturel et spirituel. L’établissement s’installe dans ses locaux actuels dans les années 1920. Dirigé jusque-là par les Pères Jésuites, la direction sera confiée dès 1947 à des laïcs.
Un jeune ensemble scolaire
En 2004, la Compagnie de Jésus souhaite que soit menée à bien la fusion des deux établissements : l’année 2006 est marquée par la mise en place de la première direction commune au collège et au lycée. Aujourd’hui, Fénelon-la Trinité, c’est un établissement qui compte plus de 1100 élèves et 110 adultes, une association scolaire vivante, l’ A.E.S. qui a adopté et fait vivre au quotidien son Projet Pédagogique Ignatien.



au début du XIVème siècle pour trouver l’origine du nom de l’établissement scolaire actuel. Il existait, à cette époque, une confrérie bien implantée sur Lyon. « La Confrérie de la Trinité ». Comptant dans ses membres beaucoup de notables, elle était un vivier pour les échevins ou consuls de la ville. Confrérie importante, forte de plus de 3500 membres à son apogée, elle a œuvré et fait preuve de charité dans de nombreux domaines au fil des siècles.























igo López de LOYOLA est né en 1491 au pays basque espagnol, dans le Château de Loyola sur la commune d’Azpeitia. Orphelin à 14 ans, il sert comme page à la cour de Castille. Devenu gentilhomme, profitant des plaisirs de la vie, il se met au service du vice‑roi de Navarre. Militaire aguerri, il se dit lui‑même « possédé d’un vain et grand désir de gagner de l’honneur ».
on que toutes ces choses me parurent nouvelles. » (Ignace de Loyola – Récit n° 30)